Rencontrez les femmes remarquables de Polynésie : leur parcours, leurs expériences, leur engagement, leurs passions… Elles sont uniques et nous en parlons : Portrait…
Enfant de l’Océanie, Jessica Tran est arrivée en Polynésie en 2018 pour étudier la biologie marine. Depuis ce jour, elle n’a cessé d’user de ses connaissances pour offrir à notre récif corallien le respect qu’il mérite.
Tiare Grand n’a jamais rien connu d’autre que la danse, n’a jamais voulu dévier de cette existence rythmée par la passion. Femmes de Polynésie part à la rencontre de cette vahine qui traverse la vie avec hardiesse. Bercées par les derniers rayons du soleil, nous l’écoutons se confier sur son parcours.
C’est en foulant le rivage de la Pointe Vénus qu’Eden, enfant de Mahina, retrace son chemin de vie pour Femmes de Polynésie. Aujourd’hui professeure de yoga, elle a trouvé l’équilibre et construit le pont réconciliant la fille insouciante qu’elle était en quittant le Fenua et la femme devenue mère avant d’y revenir.
Laissons nous guider jusqu’à sa destination finale, son retour aux sources, sa redécouverte de cette île qui l’a vue grandir.
Malvoyante de naissance, Kawe Hunter a dû affronter le rejet des autres et la solitude durant son enfance. Elle étudie aujourd’hui la kinésithérapie en France...
En juillet dernier, l’équipe de Femmes de Polynésie est allé à la rencontre de Irma Brotherson Druart sur Raiatea. Son témoignage, ode à la liberté et sur le mode de vie dans le Uturoa des années 1950 a une saveur très particulière puisqu’Irma nous a quitté début août.
C’est à l’ombre de son foyer que Kahaia, jeune maman de jumeaux, accueille Femmes de Polynésie pour narrer son parcours. Remplie d’amour et de joie,...
Après 40 ans au service de la santé publique, Isabelle aurait pu prendre une retraite au calme bien méritée. Toujours le regard porté vers le...
Faites retentir le carillon de la boutique My Flower, à Uturoa, et vous serez aussitôt propulsés dans un voyage historique. À 83 ans, Flora Hart,...
À cela, Mélanie troque sa toge d’enseignant pour les gants de coach. Une relation se construit ainsi entre les deux femmes, dans le respect et la bienveillance.
« C’est un autre profil à mettre en place car il faut être à la fois ferme et dans l’empathie quand les moments sont difficiles. »
Le périple de ce concours est une montagne russe d’émotions pour les deux parties à travers lesquelles les échecs et les remises en question sont de mise.
« Face à nous, il y avait des candidats avec des budgets colossaux sur la décoration, avec un entraînement et une mise à disposition de produits que nous n’avons pas, car nous nous déplaçons uniquement pour la finale. »
Femmes de Polynésie l’avait rencontrée dès son retour au fenua, encore un peu sous le choc, Maïlys Mesnil nous avait raconté son expérience au concours du MAF1. Et c’est avec fierté que notre territoire peut compter parmi les siens, Maïlys, Meilleure Apprentie de France en Arts de la table et du service. Portrait d’une passionnée de service de la restauration à l’aube de la remise de sa médaille.