« Cela arrive par accident. L’amie, chargée de dessiner le patron chez elle, oublie de le faire. Comme je dessine beaucoup, j’improvise en traçant directement le motif sur le tissu. La présidente du jury m’observe et vient me dire à la pause : “Je vais demander au comité d’ajouter la prochaine fois cette nouvelle catégorie au concours”. Depuis, on peut créer son modèle sur place. Le tracé peut être fini en 15 minutes, mais il faut savoir par où le commencer. »
La mer hurle ses ressacs incessants sur les pierres qui nous protègent de son écume fougueuse. Mais ce vacarme ne saurait nous distraire de la...
Dans la chaleur estivale, une nappe d’ombre nous apporte la fraîcheur tant convoitée. Dans ce cocon de couleurs révélées par l’humidité ambiante, Femmes de Polynésie...
Sodispo célèbre ses 30 ans cette année, et Ludmila Alexandre Tavanae fête ses 29 ans de carrière au sein de l’entreprise. À l’occasion de ces anniversaires, nous l’avons rencontrée pour qu’elle nous dévoile les secrets de sa longévité et de sa passion au travail. La recette ? Un bon compromis entre famille et carrière.
« J’aime créer des gestuelles, confectionner des costumes, mettre en place des chorégraphies et voir mon travail prendre forme. »
Formée dès la plus tendre enfance par sa tante Moeata Laughlin, Léticia Sclabas possède une riche expérience dans le ‘ori tahiti après avoir évolué dans de troupes de Raiatea, de Tahiti et de Moorea. Elle s’est notamment distinguée au fenua en gagnant le titre de vice-championne du monde de ‘ori tahiti en 2016 et en se classant à la troisième place du concours de la meilleure danseuse à To’ata en 2019. La vahine se confie à Femmes de Polynésie pour retracer son parcours de danseuse polynésienne et partager sa passion.
Pour la 6e année, l’Association UFFO-Polynésie met en valeur 8 Polynésiennes inspirantes à l’occasion de la Journée internationale des droits des Femmes le 8 mars 2024.
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas une mais 3 Femmes de Polynésie que nous vous présentons. Trois joueuses de rugby qui n’ont rien à envier aux joueurs masculins, si ce n’est la structure et le nombre d’équipes dans le championnat local. Parole à la coach et ses deux intrépides joueuses, car « dans la vie comme dans le rugby, ensemble, on est plus fort. »
La jeune femme ne s’entraîne pas aujourd’hui, en tous cas pas de manière intensive. Tehanahana Bernardino s’est blessée récemment en sparring1, elle récupère. Elle accueille Femmes de Polynésie à la salle Black House Tahiti. Avec simplicité, entrain et passion, Tehanahana parle du MMA2, un sport qui a changé sa vie.
Parfois, ses pieds foulent la terre de ses ancêtres qui l’ont vu naître, mais son île d’accueil demeure son lieu de résidence. C’est cet environnement qui l’accompagne dans son ascension personnelle, dans son éducation. C’est aussi sur Tahiti que Myriana construit son foyer et fonde sa famille. Aujourd’hui, le soleil se levant à l’Est, caresse chaque matin son visage et l’encourage à se dépasser au quotidien.