Voici une recette qui présente un double avantage : elle est sans farine de blé et donc sans gluten ; les légumes sont disposés crus gardant ainsi...
Ébranlée par la maladie, Victorine Tihopu a changé radicalement de régime alimentaire. Aujourd’hui, cette femme de 64 ans au doux regard accueille Femmes de Polynésie dans sa pension de famille sur Raiatea. À Tevaitoa, le long de la rivière, elle partage ses connaissances végétales avec ses invités lors d’ateliers culinaires et de repas surprenants.
« Quand tu crées des robes, il est important de savoir ce qui va sur les différents types de silhouettes, ainsi que les couleurs qui vont au teint. Les couleurs sont importantes pour mettre en valeur le visage et ce que tu veux faire passer comme message. »
Whitney avoue qu’il faut être très motivé pour danser au Heiva, et gérer en parallèle vie de famille et vie professionnelle ; la jeune femme travaille par ailleurs comme assistante d’accueil. Au fil des mois, les entraînements s’intensifient. Comme un don de soi pour l’art et la culture.
Au fur et à mesure des répétitions, Whitney entre dans l’histoire racontée par la danse. Elle intègre le récit dans son corps, le reconverti en gestes. Les émotions se lisent sur le visage des danseurs pour que le public devine le sens de la légende.
C’est empreint d’espoirs que de Toulouse, Rarahu prépare son retour au fenua. Après 4 années d’expérience dans le domaine de la production d’énergies renouvelables en France, elle ambitionne désormais de participer à la transition énergétique du territoire. Femmes de Polynésie plonge dans le parcours d’une jeune ingénieure de Tahiti qui voit toujours plus grand pour son île.
Sylvie Vitiello réfléchit à deux fois avant de se confier à Femmes de Polynésie. Sa vie ressemble à un fleuve tumultueux où l’eau s’apaise soudainement pour se plisser à nouveau. Sylvie est bébé quand elle quitte son île natale et ne revient à Tahiti qu’une fois adulte. Avec beaucoup de respect et d’émotion, nous osons écrire son parcours.
« La réalité n’est pas aussi romancée que ça, mais ça reste très intéressant, très manuel. Il faut savoir manipuler les échantillons biologiques, l’outil informatique, et comme il y a beaucoup d’automates, s’intéresser un peu à la mécanique aussi. »