Notre culture polynésienne perdure et s’exprime sous de nombreuses formes : la langue, la danse, le chant, les tatouages… Cette richesse incontestable qu’offre la culture traditionnelle, nous l’explorons ici.
Née de parents polynésiens, mais adoptée en France, Coralie Perrin est l’une des rares Polynésiennes à se destiner vers le métier d’archéologue sous-marin. Sa fascination pour les richesses culturelles et environnementales de divers pays, qu’elle découvre pendant sa jeunesse à travers ses voyages, sa passion pour l’histoire et le patrimoine, ont guidé son choix.
« J’aime créer des gestuelles, confectionner des costumes, mettre en place des chorégraphies et voir mon travail prendre forme. »
Formée dès la plus tendre enfance par sa tante Moeata Laughlin, Léticia Sclabas possède une riche expérience dans le ‘ori tahiti après avoir évolué dans de troupes de Raiatea, de Tahiti et de Moorea. Elle s’est notamment distinguée au fenua en gagnant le titre de vice-championne du monde de ‘ori tahiti en 2016 et en se classant à la troisième place du concours de la meilleure danseuse à To’ata en 2019. La vahine se confie à Femmes de Polynésie pour retracer son parcours de danseuse polynésienne et partager sa passion.
Elle est l’une des rares femmes qui tatouent en Polynésie Française, qui plus est, des motifs particuliers à l’Archipel de la Société, dont elle est issue. C’est en suivant la mélodie de son rire si communicatif que Femmes de Polynésie s’installe dans le salon Tatau Legacy pour rencontrer Heipuanui, tatoueuse professionnelle.
Marie est une artisane fière de sa culture et de son île. À ses côtés, nous redécouvrons le tapa, art ancestral encore très pratiqué à Fatu Hiva dont elle est issue.
Janet Leou-Boissin se définit comme Polynésienne d’origine chinoise et cette expression prend un sens concret lorsque l’on découvre son parcours de vie.
Rositt emporte en elle la connaissance des savoir-faire traditionnels de son île, trésor qui lui a permis de gagner sa vie en milieu urbain et ainsi d’être autonome financièrement.
Lee est née à Faatemu, un district de Raiatea qui à l’époque n’était accessible qu’en pirogue. Son père était anglais, sa mère originaire des Tuamotu, mais elle fut élevée par ses grands parents à Moorea, précisément à Pihaena où elle vit toujours.
Leila est une femme de Polynésie, professeure et auteure, qui nous dévoile ses heures bleues, des poèmes composés à l’aube de sa cinquantaine.
Souhane Larmée est une jeune artiste polyvalente de Moorea. A travers la gravure, la sculpture, la peinture ainsi que le tatouage, elle ne cesse d’impressionner par ses magnifiques œuvres d’art.