Femmes de Polynésie vous propose de retourner sur les bancs de l’école et de rencontrer Anita Yu, enseignante et formatrice à l’INSPE. Elle nous reçoit au campus universitaire de Puna’auia, dans l’établissement au sein duquel elle exerce, pour nous parler de l’Observatoire et conservatoire des pratiques enseignantes.
Enracinée à Huahine depuis près de 25 ans, Melanie Shook Dupré ne cesse de rendre hommage, au travers de ses tableaux, à la générosité de la nature tout comme à celle des habitants de l’ile. À 70 ans, l’Américaine dégage un enthousiasme et une énergie créative qu’elle destine à la fondation d’une oasis pour les artistes à Fare. Femmes de Polynésie lui a rendu visite dans sa galerie-atelier historique de Maeva.
Si certains profitent du mois de juillet pour prendre des vacances, Tiare Teuira Roopina, quant à elle, est ravie de passer ses journées à l’école: elle est directrice du centre de vacances « Mon univers polynésien », installé dans l’école élémentaire Tuterai Tane à Pirae . Femmes de Polynésie a souhaité rencontrer cette femme engagée pour la jeunesse à travers son travail au sein de la ligue F.O.L.
Professeur-Documentaliste et présidente de l’association Polynélivre, Sophie Baptendier s’épanouit à travers le partage et les livres. Femmes de Polynésie vous invite à lire l’histoire de cette femme passionnée, qui a décidé de faire vivre la lecture au sein du fenua.
Jade Lilloux est professeure au Lycée Professionnel de Mahina et passionnée de crossfit. En juillet 2024, elle a accepté de troquer son short pour un...
« J’aime créer des gestuelles, confectionner des costumes, mettre en place des chorégraphies et voir mon travail prendre forme. »
Marie est une artisane fière de sa culture et de son île. À ses côtés, nous redécouvrons le tapa, art ancestral encore très pratiqué à Fatu Hiva dont elle est issue.
Whitney avoue qu’il faut être très motivé pour danser au Heiva, et gérer en parallèle vie de famille et vie professionnelle ; la jeune femme travaille par ailleurs comme assistante d’accueil. Au fil des mois, les entraînements s’intensifient. Comme un don de soi pour l’art et la culture.
Au fur et à mesure des répétitions, Whitney entre dans l’histoire racontée par la danse. Elle intègre le récit dans son corps, le reconverti en gestes. Les émotions se lisent sur le visage des danseurs pour que le public devine le sens de la légende.