Si cette entrevue se déroule face à la mer qui chante sous les rayons du soleil, ce n’est pas un hasard. Femmes de Polynésie rencontre...
Femmes de Polynésie est allé à la rencontre de Marion Ung, psychomotricienne. Un métier encore méconnu dans le domaine paramédical, mais qui est pourtant essentiel à tous.
Au mois de mars, nous célébrons la journée internationale des droits des femmes. À cette occasion, l’association UFFO Polynésie met en valeur 8 Polynésiennes inspirantes....
Dans un salon fleuri et accueillant, Femmes de Polynésie rencontre Emma Duret, esthéticienne spécialisée en mamelons prothétiques, mais pas que…
Hôtesse de l’air, photographe, danseuse de ‘ori tahiti, créatrice de bijoux, Rava Ray multiplie les casquettes avant son coup de foudre pour le tīfaifai en 2018. Désormais fixée à Moorea et mère de deux enfants, cette artiste aux nombreuses facettes raconte à Femmes de Polynésie son parcours aux quatre coins du monde, et nous transmet une vision cosmopolite de l’art du tīfaifai.
Même si on raffole de la courge en velouté, en soupe ou bien en gratin, il arrive un moment où ce légume, très généreux dans ses formes, piège les cuisiniers en mal d’idées. Victorine Tihopu, qui organise des ateliers culinaires dans son refuge The Niu Shack, nous le propose en salade de crudités.
Voici une version joliment présentée d’un pâté végétarien signé Victorine Tihopu, de la pension de famille The Niu Shack, à Raiatea. L’astuce, choisissez un plat adapté à la quantité pour que le pâté soit bien moulé. La réfrigération permet aussi de lui donner une belle tenue.
Pâtissière, auto-entrepreneuse, traiteuse maman, Ranihau Doom jongle entre les différentes fonctions pour mener à bien son projet : Monatura, L’Immersion Végétale. Cette Tahitienne de 24 ans, devenue traiteur végane, retrace et explique son parcours pour Femmes de Polynésie. Nous vous invitons à découvrir une vahine déterminée et passionnée par son métier.
A l’occasion de la semaine mondiale de l’allaitement, nous avons rencontré Hitiura Beauvilain, une femme qui consacre son temps aux mamans. Entre sa profession de sage-femme au CHPF et son engagement au sein de l’association Te u o te ora1, elle convoque l’importance d’échanger autour des sujets de la femme, de l’allaitement, de la maternité.
Au Centre de Formation des Gens de la Mer (Cefogem), Vaihere Pahuiri place l’humain au cœur de la formation.